La CPME a égrené ses propositions pour faire face à l’inflation et améliorer le pouvoir d’achat des Français sans malmener la compétitivité des entreprises, elles-mêmes en proie aux hausses de prix et aux pénuries. Elle a également rappelé la nécessité de réformes profondes de l’assurance chômage, des retraites et de l’action publique face à la dette de l’Etat qui s’envole. Tour d’horizon.
Mardi 28 juin, François Asselin était l’invité de la matinale de BFM Business. Dans un contexte politique compliqué, il a appelé à la responsabilité collective et a formulé des propositions concrètes pour les TPE-PME comme : l’étalement de la prime Macron, l’exonération des charges patronales sur les heures supplémentaires et la transformation de la déduction d’impôt sur le revenu des frais professionnels en crédit d’impôt.
Le même jour, Eric Chevée a été interviewé dans Capital sur les instruments de partage de la valeur dans les TPE-PME. Il a plaidé pour un intéressement différencié dans la limite de 25% à 30% en fonction de critères individuels et la possibilité de fractionner le versement de la prime d’intéressement pour une plus grande flexibilité.
Bénédicte Caron a évoqué au micro d’Europe 1 l’élargissement de la prime transport envisagé par le gouvernement : « Cette aide est versée directement par le chef d’entreprise, c’est forcément un coût important. Pour qu’une entreprise puisse la donner, il faut qu’elle en ait les moyens ».
Jeudi 30 juin, François Asselin a réitéré ses propositions dans les colonnes de Ouest France à l’occasion d’un déplacement dans l’Orne